DICK RIVERS
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bugg
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   Posté le 13-06-2005 à 16:50:34   Voir le profil de bugg (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à bugg   

Faire connaître sa musique tout en s'affranchissant des majors du disque, c'est depuis longtemps possible sur internet: nombreux sont les artistes autoproduits qui laissent leurs morceaux en téléchargement, souvent gratuitement, sur leur propre site. Mais comment, dès lors qu'il s'agit de gagner un peu plus de reconnaissance en rentrant dans le circuit classique de la distribution, attirer l'attention des plates-formes comme iTunes, VirginMega ou Fnacmusic lorsqu'on est un artiste isolé et peu connu?
C'est sur ce créneau que se sont positionnées plusieurs sociétés, dites «agrégateurs de contenus musicaux». À mi-chemin entre le prestataire de services et le label, elles proposent de servir d'intermédiaires entre les artistes indépendants et les plates-formes de distribution payante. «Notre optique est de favoriser la visibilité des artistes autoproduits, de lever des barrières pour ceux qui n'ont pas la capacité financière pour faire un CD, ou pour se retrouver dans le catalogue des grandes plates-formes»

«Les grandes plates-formes ont des politiques d'investissement limitées, avec des équipes réduites. Travailler avec nous leur permet de reporter sur un seul interlocuteur la gestion de petits labels ou d'artistes autoproduits», souligne Denis Ladegaillerie, président de Believe.fr. Ancien directeur de la stratégie de nombreux portails musicaux américains, dont Mp3.com ou Rollingstone.com, il reconnaît «être parti un peu sur le même modèle» que ces sites, à l'époque des références pour la découverte d'artistes.

Sa société propose un catalogue d'environ 30.000 titres (soit 3.000 références) en provenance d'artistes autoproduits ou de petits labels. Elle accueille même Dick Rivers, viré de sa précédente maison de disques, mais qui possède encore ses masters dont il a confié l'exploitation à Believe.fr.
Pour Believe.fr, la somme reversée par VirginMega sur les ventes varie entre 50 et 70 centimes, soit un niveau équivalent de ce que réclament les grandes majors. Sur cette somme, entre 30 et 42 centimes vont à l'artiste. «La décision se fait en fonction du niveau de développement de l'artiste», affirme Denis Ladegaillerie. Ainsi Dick Rivers, artiste plus reconnu, reçoit 70% de reversement pour ses anciens albums. Alors qu'il ne recevrait qu'environ 15% s'il était toujours chez une major.
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